Depuis ma fenêtre
En regardant par la fenêtre, je me souviens de ces deux mois…
Le temps passe et les personnes qui marchent dans la rue sont apathiques, tristes et sans sourires.
Ils sont seulement accompagnés par un petit chien joyeux et drôle.
Aujourd´hui derrière la fenêtre, la rue semble vide et triste.
Les oiseaux volent d´un endroit à un autre. Ils se posent n’importe où sans crainte. Il n´y a personne dans la rue !
Le bruit derrière les fenêtres n’est pas le même. Juste quelques voitures qui vont et viennent du travail.
A 8 heures, la rue est pleine de lumière et de couleurs. Les sourires resplendissent grâce à la musique et le bruit des mains.
Mais ce moment se termine et tout revient à la routine de la maison.
Demain un petit sourire brillera derrière la fenêtre.
Encarnación Serrano